Marche 12,
Il fait de plus en plus chaud. Les marches sont un rituel qui est devenu structurant dans ma journée avec le moment d’écriture… j’essaye de le maintenir pour moi dans ma tête … Cela m’apprends pas mal sur ma manière d’aborder les choses quotidiennes qui se répètent pour moi... Cette fois si c’est Amine qui dirige, il propose une balade entre ami(e)s ou l’on parle… il nous propose d’aller dans le 9ème vers pigale hors du cercle … Les discussions abordent l’incertitude de la situation actuelle et les conséquences économiques du confinement et de la pandémie … Par exemple pour l’hôtel du frère de Feriel … quoi après le dé-confinement … pour l’instant Il y a héberger des demandeurs d’asiles qui risque d’être régulariser … et puis nous parlons de l’émmigration au états Unis … l’éducation entre France et Etats unis … et les problèmes de Dis-orthographie en français et la mise en difficulté professionnelle des personne dans ce cas… nous passons dans une rue avec un magasin sax machine … et non sexe -machine je fais la remarque … puis le musée de la vie romantique rue Chaptal avec un sublime jardin fermé qui présage le salon de thé dont on m’a déjà parlé… Puis le retour le temps passer à la promenade me ressource je suis bien, j’aime ce temps consacrer à juste marcher et faire des commentaires sur la vie … j’aime cette contemplation… comme si je voudrais faire abstraction de ce qui soustemps à cela qui est que nous sommes soumis à des injonctions et nous tremblons quand nous rencontrons la police… car nous avons dépasser le temps… la vue de la police me le rappelle.
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